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On nous l'a changé notre capitaine d’industrie.Du fond de nos vallées, on en parlait comme d'un vampire, d'une goule, d'un esclavagiste qui «exploite la sueur du travailleur». Son empire - du charbon, de l'acier, du porte-jarretelles - il le devait à sa famille. Industriel n'était pas un job. C'était une charge. L'image n'était pas bonne. Longtemps frileux, notre capitaine est devenu corsaire…